Nous avons essuyé des chagrins et des douleurs depuis ...
Pourtant la vie continue, mais pas tout à fait de la même façon.
Nous apprenons que tout n'est pas gagné d'avance et que la Paix est un bien précieux à préserver et à garder au plus profond de chacun, pour qu'elle ne vienne jamais à manquer nulle part.
en dehors de la Paix,
la destruction,
la souffrance
ainsi je m'en suis allée
reposer mon regard
dans l'immensité de l'océan
DOUCE
Sous un tapis de mousse,
tout un tas de vies
se repose,
en attendant
le printemps!
LES GRANDES MARÉES se poursuivent dans la côte atlantique. Le chat se laisse bercer par le sifflement du vent et le souffle des vagues poussées contre le mur de protection l'enjambant! Gris est le ciel et il crachouille! Un temps à ne pas mettre le nez dehors, pourtant la tentation est grande, parce que la mer semble ne jamais avoir contenu autant d'eau et c'est grandiose!
PAISIBLE
Mon chat écoute
tantôt d'une oreille,
tantôt de l'autre,
le bavardage croissant des vagues
à marée montante.
Les grandes marées de février à Saint Gilles Croix-de-Vie
GRISE
La mer
chante sa rengaine
des jours
sans soleil,
poussée par le vent
HUMIDE
Le sol quant à lui
reste humide et reluisant,
mais jamais
il rivalisera
avec la pleine mer!
ARROSÉS
Le Remblai
et les passants,
généreusement
généreusement
arrosés par la mer,
malgré elle.
Comme l'explique si bien François Cheng dans ses méditations: le mal et la beauté cohabitent dans le même monde. La beauté nous apparaît encore plus grande au regard du mal.
RépondreSupprimerLa deuxième photo est absolument somptueuse, ce qui n'enlève rien aux autres.
Profite au maximum de cette vision paradisiaque des cerisiers en fleurs du parc de Sceau :-)
Bonsoir Yanis.
SupprimerMerci d'avoir pris ce petit chemin où, par-ci par-là, des signes de beauté ou moments heureux renforcent en nous l'espoir et la joie. Disons que le paradis et son contraire sont une constante dans nos chemins. La dimension exacte de leur présence dans notre monde, dépend en grande partie de chacun de nous. Bel été Yanis, il arrive doucement mais sûrement!